A l’audience de ce matin, huit heures, le gouvernement a déposé ses conclusions par le biais de Me Lombardo, ainsi qu’Ismet Kurtovitch, représenté par la CFE-CGC (c’est pas une plaisanterie, il y a des syndicats pour défendre l’indéfendable : un contractuel dépourvu des diplômes exigés par la loi, en situation illégale depuis neuf ans, mais il est vrai que cette organisation « syndicale » n’est plus à ça près ! J'ai encore en mémoire le cas d'une certaine Sandrine, recrutée à la DITTT en qualité de contractuelle -sans aucun concours donc- qui plus est comme juriste, puis déchargée … comme juriste à la CFE-CGC. Trop fort! Elle a ensuite été intégrée dans la fonction publique puis a bénéficié de facilités lors d'une promotion ultérieure contestée et largement évoquée dans une décision du tribunal administratif qui a annulé 51 actes du gouvernement en décembre 2008).
N’ayant pas souhaité répondre aux conclusions des parties adverses, la plaidoirie a eu lieu dans la foulée : le délibéré sera rendu le 19 juin prochain.
Je reviendrai ultérieurement sur les moyens fantaisistes avancés de part et d’autres, et notamment l’incompétence du tribunal du travail soulevée par les deux parties alors que dans toutes ses écritures précédentes, le gouvernement a sans cesse dénoncé l’incompétence du tribunal administratif en ajoutant à chaque fois que le litige relevait de la compétence du tribunal du travail. Il est vrai qu’il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis, et au gouvernement de la Nouvelle-Calédonie, c’est bien connu, on a des génies au sein de ses services et surtout à leur tête.
Autre moyen « comique » soulevé par la CFE-CGC : je n’aurais pas d’intérêt à agir parce que je n’ai pas été candidat en 2007, lorsque Ismet Kurtovitch a été nommé. Ben oui, mais la nomination d’Ismet Kurtovitch est intervenue sans aucune publicité de vacance de poste -sans quoi je n’aurais pas manqué d’être candidat comme d’habitude pour pouvoir ester en justice- et j’avais pourtant soulevé cette irrégularité dans la requête (voir le billet précédent comportant la requête): il faut lire les écritures avant de dire n'importe quoi!
Pour ma part, je poursuis ma grève de la faim avec prise de compléments sur prescription médicale, afin de ne pas mettre trop sérieusement en danger ma santé. Je sais que le fan club de Kurtovitch serait ravi de me voir mener une véritable grève de la faim, jusqu’à son terme fatidique, mais il n’aura pas ce plaisir. Comme je l’ai déjà dit, ma grève de la faim est politique, et non pas spirituelle. Et si le droit ne s’avère pas efficace, j’ai fort heureusement d’autres cordes à mon arc, plus radicales, pour mettre un terme à cette situation scandaleuse découlant de la politique du petit copain. Personne ne pourra prétendre que je n’aurais pas tenté d’utiliser la loi.
N’ayant pas souhaité répondre aux conclusions des parties adverses, la plaidoirie a eu lieu dans la foulée : le délibéré sera rendu le 19 juin prochain.
Je reviendrai ultérieurement sur les moyens fantaisistes avancés de part et d’autres, et notamment l’incompétence du tribunal du travail soulevée par les deux parties alors que dans toutes ses écritures précédentes, le gouvernement a sans cesse dénoncé l’incompétence du tribunal administratif en ajoutant à chaque fois que le litige relevait de la compétence du tribunal du travail. Il est vrai qu’il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis, et au gouvernement de la Nouvelle-Calédonie, c’est bien connu, on a des génies au sein de ses services et surtout à leur tête.
Autre moyen « comique » soulevé par la CFE-CGC : je n’aurais pas d’intérêt à agir parce que je n’ai pas été candidat en 2007, lorsque Ismet Kurtovitch a été nommé. Ben oui, mais la nomination d’Ismet Kurtovitch est intervenue sans aucune publicité de vacance de poste -sans quoi je n’aurais pas manqué d’être candidat comme d’habitude pour pouvoir ester en justice- et j’avais pourtant soulevé cette irrégularité dans la requête (voir le billet précédent comportant la requête): il faut lire les écritures avant de dire n'importe quoi!
Pour ma part, je poursuis ma grève de la faim avec prise de compléments sur prescription médicale, afin de ne pas mettre trop sérieusement en danger ma santé. Je sais que le fan club de Kurtovitch serait ravi de me voir mener une véritable grève de la faim, jusqu’à son terme fatidique, mais il n’aura pas ce plaisir. Comme je l’ai déjà dit, ma grève de la faim est politique, et non pas spirituelle. Et si le droit ne s’avère pas efficace, j’ai fort heureusement d’autres cordes à mon arc, plus radicales, pour mettre un terme à cette situation scandaleuse découlant de la politique du petit copain. Personne ne pourra prétendre que je n’aurais pas tenté d’utiliser la loi.
A suivre donc…
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